la presse

Contacts


THÉÂTRE DU CHAOS / production

5 rue Henri Poincaré – 75020 PARIS

Tél : 01 43 61 90 05 - contact@theatreduchaos.org

http://www.theatreduchaos.org


Stéphanie GAMARA / Diffusion

contact@stephycom.com


SARA VEYRON

Saraveyron@theatreduchaos.org


GEORGES DE CAGLIARI

Pour contacter Georges de Cagliari,

Visitez son site :http://www.georgesdecagliari.fr/contact/


PIERRE MARGOT

pierremargot@leclochardstellaire.com - www.pierremargot.com

Presse

www.sortiz.com

Le Clochard Stellaire  au théâtre des 3 Raisins à Avignon (à 17h)
Mise en scène de Sara Veyron avec Pierre Margot et la voix d’Anny Duperey (sur une création électro-acoustique de Pierre Lardennois) écrit par Georges de Cagliari


Quel beau moment de théâtre et de poésie que le voyage de ce clochard solitaire mort écrasé par le poids des livres qui ont accompagné sa vie. Arrivé sur l'autre rive, il se retrouve face à Dieu, qui le charge d'entretenir la voûte céleste. "Sinon les étoiles mourront..."


Le magnifique texte de Georges de cagliari est ici superbement rendu. Son intelligence, sa force, sa beauté transpirent par tous les pores d'un acteur fascinant, habité bien au-delà des mots. Emouvant par sa sincérité, sa passion du verbe, Pierre Margot dessine un gardin d'étoiles touché par la grâce, élégant dans le geste, plein de vie, amoureux, râleur , enfantin, sauvage, tendre, moqueur parfois.

La scénographie sobre et belle de Sara veyron et la musique de Pierre Lardenois sertissent ce merveilleux spectacle comme de grands bijoutiers le font pour une pierre précieuse. Un voyage magique qui nous rapproche des étoiles.

Paul Mickaels


L'INEDIT Nouveau mensuel - Belgique



Georges de Cagliari est bien de notre temps, il ne craint pas de prendre position courageusement. Engagé ? Sans doute, mais dans l'humain et non dans les rails. Il a des aiguillages bien utiles, non pour changer de cap, mais pour s'y tenir.



L'ONDE POETIQUE - IDFM


Le verbe puisant de l'auteur porte l'ardeur du souffle capable d'enfanter des printemps... François Fournet


Revue JALONS


Maître des images qui vont profond sans ignorer l'espace indéfini, le poète grave ses textes dans la chair de l'existence"... Il va et vient sur tous les rivages de l'Etre... comme s'il avait acquis sur les mots le pouvoir de les associer en plein à nos dérives, comme aux plus longs de nos parcours intimes ou tapageurs.


Le Bien public - La dépêche


Tant qu'il y aura chez l'humain, l'envie d'atteindre jusqu'à l'indicible de ce qu'il est, on peut espérer en lui.


Au Festival d'Avignon 5 étoiles pour le Clochard Stellaire

Prenez un poète rare, une metteuse en scène d'exeption, un acteur mirobolant et vous obtenez l'une des meilleures créations du Off d'Avignon 2023.

Gisant sous un amoncellement de livres, le Clochard Stellaire n'a pas dit son dernier mot. Avant de trouvez dieu, il se redresse, explose, fulmine et, dans la petite salle soudain immense et confortable de la cité en surchauffe, cesse le papillonnement des éventails : "La voûte céleste est un pur produit de l'humanité. Elle est faite de tout ce que l'âme humaine a su produire de beauté. Vous, le poète, vous devez en alimenter toutes les étoiles, sinon elles mourront !" En onze tableaux, Pierre Margot, subtilement inspiré par la mise en scène de Sara veyron, donne un charme fou à ce texte exigeant, dont on goûte chaque mot en guettant le suivant. nous voici attachés à ce loqueteux magnifique, ému par ce passeur de beauté qui nous ressemble tant et nous invite à remplacer la rage par l'amour. Il y a de l'Alceste dans ce personnage inspiré des beaux textes de Georges de Cagliari.

Jean Pierre Lanos


ART&POESIE

Ni philosophe,ni même penseur, comme il ne se définit pas, Georges de Cagliari laisse, par instants son humour se diffuser ou son humeur se répandre.


REG’ART Le magazine du spectacle vivant



« Sous le Pont d’Avignon, on y danse, on y… »


Je m’arrête, bloqué par un visage, non pas sur une affiche, non, sur un flyer porté par le vent, bloqué à la muraille… Bon sang, que c’est beau !

Il rejoint ma besace, puis mon bureau hélas ! Le temps d’un oubli involontaire.

Et le voilà qui ressurgit quelques jours plus tard, en bataille au cœur des piles de papier, il titille ma curiosité. Théâtre Au Bout Là-Bas, je connais. Je fonce.

Le Théâtre m’ouvre ses fauteuils confortables. Le « Voyage » va commencer…

On n’entre pas en poésie comme on entre en religion. La poésie revêt une forme de musique de cœur particulière qui demande de l’âme aux mots. Elle est partout, partout en nous, autour de nous. Il suffit d’un rien pour la capter, l’apprivoiser… Elle est source vive de nos rêves, les plus fous, les plus profonds.

Georges de Cagliari le sait, qui est le grand architecte de l’œuvre ! Il réalise l’alchimie parfaite, élégante, spirituelle : sa propre inspiration conjuguée aux poèmes puissants de la littérature. Il en tire une moelle, hum ! Forte et douce, enivrante.

Il a choisi Pierre Margot pour entrer dans la peau du Clochard Stellaire, celui qui nous mène à la source. Ce choix est formidable.

Le comédien endosse avec passion et enthousiasme, la peau de Dieu, celle des Hommes et du clochard « gardien de la voûte céleste ». Il vibre, il éructe, il convainc, il aboie cet homme-là qui aimerait que l’on devienne un peu des clebs libres mais gardiens d’étoiles ! Comme lui. Et sa supplique est tellement merveilleuse qu’à coup sûr, l’étincelle venue d’ailleurs nous poursuivra longtemps dans le regard.

Monsieur, vous avez un sacré talent !

Et que dire de la mise scène ? Sara Veyron en fait un petit bijou de simplicité et de lumières où la touche musicale accompagne mots et silences jusque dans nos tripes. Voilà ! C’est fini ! J’ai dû rêver ! Pourtant, tiens !… Gorge serrée, paupière lourde d’émotions, je sors du Théâtre, clebs ivre de liberté et de poussières d’étoiles. Le clochard stellaire est un sacré coup de cœur ! Il vous reste peu de temps, allez-y !

Pier Patrick


www.regarts.org

http://www.regarts.org/avignon2013/le-clochard-stellaire.htm


L'hebdo

Le Comtadin


À quoi sert-elle la poésie ? Et ceux qui l’engendrent ? Un scénario : un poète mort dialogue avec Dieu, et surtout avec nous, sa mission étant d’entretenir la voûte étoilée pour qu’elle ne perde pas sa brillance.

À travers ce voyage, la réflexion du personnage mêlée à des passages d’oeuvres poétiques, se déroule tout ce qui constitue la vie, notre vie : l’amour, la mort, les peurs, les joies... Mais plus que tout autre chose, la Beauté !


La poésie traverse une crise, c’est certain, mais Georges de Cagliari, l’auteur de la pièce nous la fait découvrir ou redécouvrir avec une simplicité et une intelligence hors pair ! La poésie ici n’est plus seulement des mots, elle devient sentiments, moments, actions, pensées, elle devient une part indéniable de nous ! Une pièce dont vous ne sortirez pas sans éprouver l’émotion forte de pouvoir redécouvrir le monde d’un nouvel oeil, celui du poète !

Pierre Margot interprète le rôle à la perfection, dans un décor à l’atmosphère onirique et en même temps si chaleureux !

Je finirais avec les mots de l’auteur lui-même, qui illustre il me semble cette pièce mieux que toute description : Les poètes sont, dans la part de ciel qui nous habite tous, la poussière d’étoiles dont s’éclaire depuis toujours, le meilleur de l’humanité.                                                    Lucie Donat-Magnin

La Provence


Il parle, il fulmine, il se met en colère. Il crie également sa détresse. Il vient de mourir et, clochard sur terre il compte bien au ciel s’entretenir avec Dieu sur le sale état dans lequel se trouvent ses semblables. C’est son désir le plus profond et si les questions sont précises, les réponses qu’il obtiendra auront de quoi le surprendre. Car Dieu, s’il doute des créatures qu’il a créées, place la poésie au-dessus de tout. Pour le grand bonheur de notre « Clochard stellaire ».


Magnifiquement écrite par Georges De Cagliari, cette pièce métaphysique dont l’écriture très charnelle rappelle celles de Pessoa et Tabucchi, brille par son intelligence et la beauté de son propos. On y parle d’amour, de fraternité, de paix et d’espoir et on y rend hommage aux poètes avec des extraits de Hikmet, Prévert ou Leprest, et on salue surtout la prestation de Pierre Margot. Seul en scène, il campe un inoubliable clochard. Lui aussi est stellaire.


Jean-Rémi Barland


Publié sur La Provence

Publié dans #poésie, #théâtre, #Avignon


Voilà un bel hommage à la poésie, à la part du poète qui vit, sommeille en chacun de nous et le poète de l'au-delà soumis à un vrai travail de Sisyphe par le Dieu tout-puissant se heurtant à la liberté de l'homme de ne pas croire en lui, nous invite quand l'épuisement lui vient, à prendre sa relève, à puiser en nous pour trouver, donner au monde et aux autres de la beauté, la part non créée par le Dieu qui n'a pas achevé le Verbe. Le mot beauté étant plusieurs fois prononcé, je n'ai pu m'empêcher de me dire que la mission du poète pourrait être celle d'un pourvoyeur certes de beauté mais aussi de bonté. La beauté existe et nous pouvons la voir partout en tout temps.

 La bonté est rare par contre et si la Beauté hisse l'âme, ce devrait être pour faire de nous des distributeurs de bonté, un sourire ici, un mot agréable là, un regard complice, un geste doux. Mal nommer les choses disait Camus, c'est ajouter de la violence au monde. Les poètes n'ajoutent pas de violence au monde. Car ils chantent, font chanter la langue mais ils ne sont pas que des créateurs de verbe, d'images, de rythmes, ils sont des passeurs de réels, de réalité autre, peu ou mal perçue, voire occultée.


Le spectacle nous montre bien à travers des poèmes de Neruda, Whitman que nous sommes poussières d'étoiles comme dit Hubert Reeves, nés de la Terre et voués au néant comme espèce, comme monde, comme soleil, comme univers mais ailleurs d'autres aventures auront émergé. Les poètes évidemment nous saisissent dans l'essentiel de notre être, de nos désirs, de nos peurs, l'amour par exemple si bien chanté par Aragon. Sont convoqués Artaud, Char, Prévert, Hikmet et quelques autres pour un tour de la création, de l'univers, de la terre et de l'homme. Georges de Cagliari met en résonance avec finesse ces poètes.


 

Aucune pesanteur didactique dans cette transmutation d'un patchwork en puzzle.

La mise en scène favorise l'écoute par un dispositif évocateur, une voûte étoilée, une brouette remplie de livres, des piles de journaux. La partition musicale est en dialogue avec le comédien, Pierre Margot, lequel utilise un registre varié pour changer de personnage, faire entendre les voix de ces poètes cosmiques [...]


Merci donc pour ce spectacle nous ramenant à la Source.


Jean-Claude Grosse


Livre d'Or


paroles de spectateurs du Clochard Stellaire


Pour publier vos impressions, vous pouvez les envoyer par courrier électronique :

parolesdespectateurs@leclochardstellaire.com


ou bien livrer votre ressenti sur le Livre d'Or à la sortie du spectacle

"Le vent souffle, c'est dieu qui parle,... Le tonnerre gronde, c'est dieu qui se fâche,... Non pas du tout ! C'est un poète sur la scène du monde qui cherche un chemin de vérité et avance avec un bouquet de poèmes qui disent l'angoisse, l'émerveillement, l'amour, la peur,... Pierre Margot habite cet homme, ce poète, il vibre sous les étoiles, s'élève jusqu'à elles et nous emporte avec lui". Spectateur Billetréduc - Paris 2015

« C'est le premier spectacle que je suis allée voir lors de mon passage éclair à Avignon... UN GRAND BRAVO A PIERRE MARGOT! Quels textes !...

Et quelle interprétation ! » Agnès Collet

« Quatrième spectacle de notre journée en Avignon... nous venions assoiffés de poésie... Merci. »

« La poésie, divine et ultime espérance...  Le festival réserve des moments d'incroyable grâce; L'an dernier nous avions découvert avec jubilation les excellents aphorismes de Georges de Cagliari et aussi sa poésie par l'intermédiaire de la belle voix de Sara Veyron. Cette année, c'est elle qui met en scène dans un ouvrage de "dentellière" la magnifique pièce de Monsieur de Cagliari, dite avec brio, puissance et sensibilité par le très talentueux comédien Pierre Margot, dans un dialogue "musclé" avec le Très-Haut. D'autres poètes sont invités à partager ce voyage près des étoiles : Neruda, Char, Aragon, Prévert, Artaud et on ne peut hélas tous les citer ici. Venez jusqu'au "Bout là-bas" et ouvrez vos oreilles et vos cœurs : c'est un enchantement ! Ne serait-ce que pour l'interprétation du poème "J'ai peur". Ce "clochard stellaire" est un pur joyau ! » Dolcezza

« Le texte poignant de Georges de Cagliari, entrelacé de poèmes étoilés, vous donne faim, de se nourrir de vers et de rimes, par nécessité d’absolu. Et d’écrire même, car interpellés par ce clochard incarné avec puissance par Pierre Margot, nous sommes révélés à notre propre quête de beauté, de poésie. Merci pour ce spectacle charnel. » Roland Athlani

« Que dire ! …. Mais que dire ! …. BRAVO ! Infiniment, immensément BRAVO ! Gobéo

« Belle pièce ! Beau texte et magnifique performance du comédien. A voir absolument et à méditer... »

"Un merveilleux clochard, inspiré... ON y croit, on le voit... tout là-haut. Bravo pour tout... le texte, l'interprétation... les mots reçus par nous, par vous les artistes, mise en scène comprise... et je n'oublierai pas la superbe affiche attirante avec ce dessin extraordinaire d'authenticité... Bravo à tous les poètes croisés ce soir, et spécial bravo à Allain Leprest que personne n'oublie."

« Un petit moment et monument de grâce dans ce festival ! » Louise Claire

« Merci. » Laurent Gina

« C'est magnifique et émouvant. Merci pour ce beau moment et cette performance d'acteur. » Céline Lingueri

« Quel hymne à la beauté ! Vive les ennemis du monde ordinaire ! »

« Splendide. Pour le texte et pour le jeu. Merci. »

« Quelle présence ! Merci pour ce merveilleux moment ! »

« Spectacle magnifiquement interprété, texte très fort. Merci pour cette double performance. »

« Un immense merci pour ce moment si beau, si fort... Que dire de plus, après un tel festival de mots et d'émotions... À y revenir, encore et encore... Avec toute mon affection. »

"Magnifique spectacle 'habité' par un comédien hors du commun."

« Magnifique électrochoc ! »